Triste patrie que celle qui dévie.
Peuple prisonnier dans l’aliénation,
Castré de toute impulsion de survie,
Société vouée à la résignation :
Martyrisés sous le joug de l’argent,
Radicalaire halogénation…
Pingouins et arbres, l’action égorgeant
Nos citoyens qui souffrent et qui suent.
Parasites assassins négligeant
Celui dont tous les Français sont issus…
Géant tenant la justice asservie,
Donnant aux maux leur dénomination,
Ta foudre jetée au mal poursuivi,
Charrie les traîtres à la condamnation.
Brasier des ombres, chevalier jugeant,
Des ténèbres il est l’incarnation,
Fantôme de la puissance assiégeant,
Et dont le pouvoir n’est ni vu, ni su.
Son trône est aux enfers, diable purgeant,
Celui dont tous les Français sont issus.
La maïeutique macabre à l’envi,
Est l’ambivalente insémination.
Ô grand phœnix ! Après la mort, la vie !
Du ciel accepte la destination,
De la carcasse incinérée émergeant,
Dieu ! Embrasse ta réincarnation !
Flammes d’espoir son envol propageant,
Cet élan vital menant à l’issue,
Dans l’ordre naturel tous dirigeant,
Celui dont tous les Français sont issus !
Peuple ! Réagis en détonation !
Élève-toi vers l’illumination !
Renoue avec ton fraternel tissu,
Divine entité de fascination,
Celui dont tous les Français sont issus !