Trouble qui vient la sérénité tordre,
Provoque force et colère à l’endroit.
La justice aucun répit ne s’accorde.
Suivez les préceptes du geste adroit :
De la saine vertu n’onques démordre,
Face au scélérat que l’instinct foudroie,
Ne témoignez point de miséricorde,
Ainsi révélée la sagesse de roi.
Ennemis d’antan, avec violence emblent.
Nobles gardiens sacrifiant, coup rageant,
Protégeaient la patrie, guerroyant sang bleu,
Contre la menace qu’encourra gens.
Chaotique l’illustre artisan semble,
N’en est qu’imprévisible en cour agent.
Cependant, tel le cheval, avance amble,
Fort de la discipline encourageant.
Fraternité constitue la cuirasse
Et fécondité la lance des pairs,
Pour affronter la nature vorace,
Accablant jusqu’à ce qu’on obtempère.
Le projet vivant qu’ils élaborassent,
Bastion hexagone établit repaire,
Etendue de terre pour qu’ils œuvrassent,
Les fondements d’une Cité prospère.
Joyaux lyriques la statue cisèle,
Diadème poétique à embellir.
Lingerie qui la colonne fusèle,
Compose des vers pour l’art anoblir.
Drame pittoresque pour demoiselle,
Chante l’arche courbée sous ses délires,
Amusée muse musette musèle,
Pour sentir le miracle s’accomplir.
Purgé de toute gangrène,
Le cerf majestueux brâme,
Au bois sacré harangue reine.
Forgeron au cœur de flammes,
Les rouages du destin grène,
Pour que la voie nous trouvâmes,
Un élan vital égraine,
Par la foi ressuscitâmes.